La profession de masseur-kinésithérapeute existe depuis le 30 avril 1946. Elle était définie à l’époque par deux actes : le massage et la gymnastique médicale. La formation initiale s’est depuis enrichie de 2 années permettant ainsi l’acquisition de compétences additionnelles.
L’évolution de ces compétences passe évidemment par l’expérience mais également par l’actualisation des connaissances via la formation continue tout au long de la carrière du professionnel. Cette formation continue (DPC) est d’ailleurs une obligation légale inscrite au code de déontologie des masseurs-kinésithérapeutes.
La grande majorité des masseurs-kinésithérapeutes libéraux a déjà effectué une action de formation au cours de sa carrière professionnelle, et a parfaitement conscience de l’importance de celle-ci dans sa pratique quotidienne.
En revanche, ils ont peu de temps à y consacrer et peuvent être perdus face à toutes les options de DPC et autres actions de formations proposées par différents acteurs du secteur. Le perfectionnement des connaissances, l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins participent à l’optimisation de la prise en charge médicale de nombreuses pathologies.
Parmi toutes les prises en charge classique telles que la traumatologie ou la rhumatologie, l’accompagnement pré et post chirurgie du cancer prend une place prépondérante au sein d’un cabinet. Le masseur -kinésithérapeute, en étroite collaboration avec le chirurgien, accompagne le patient dans la prise en charge des séquelles de la chirurgie curative et dans la préparation de la reconstruction d’un cancer du sein ou de la face par exemple.
La kinésithérapie spécialisée est essentielle dans le traitement des conséquences de la chimiothérapie ou des brûlures cutanées liées à la radiothérapie afin de contribuer à une meilleure cicatrisation et à une diminution des douleurs, des raideurs articulaires et de la fatigue.
Elle permet ainsi au malade de conserver sa force physique et sa mobilité, en l’aidant progressivement à reprendre ses activités quotidiennes et son activité physique.
Le masseur kinésithérapeute doit aussi se former sur des questions très pratiques, liées à la déontologie de la profession, comme le secret professionnel, l’information des patients, la gestion des risques… Tout en essayant d’en apprendre toujours plus sur la gestion et sur les perspectives de développement de son cabinet.
Si le choix de formation est très vaste, il peut être intéressant de se pencher sur celles qui constituent des leviers de réussite pour développer ses compétences tout comme son activité. Développer son savoir-être pour accompagner de nouveaux patients, notamment atteints de pathologies moins courantes telles que les chronicités post covid par exemple ; poursuivre les séances de maintien et d’amélioration de la condition physique post rééducation ou encore proposer à une nouvelle clientèle une nouvelle approche de soins endermologie® hors convention. Ces diversifications sont des perspectives intéressantes pour le cabinet et s’inscrivent dans la dynamique actuelle des masseurs kinésithérapeutes souhaitant améliorer leur qualité de vie.
Le masseur kinésithérapeute, en apportant un soutien psychologique incontestable à ses patients et en améliorant ses techniques de prise en charge, n’a fait qu'accroître son importance ces dernières années dans le parcours de soin du patient.
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