Au début et tout au long de la prise en charge d’un nouveau patient, il est essentiel de réaliser des bilans. Pourquoi ? « Car il est très important d’évaluer sa condition physique, de comprendre pourquoi il vient et de définir où il doit aller afin d’adopter une approche thérapeutique éclairée », rappelle Christian Gagnière, Directeur Médical et Scientifique chez LPG®. Ainsi le masseur-kinésithérapeute peut ensuite avoir une meilleure vision et construire son plan de rééducation.
Avec l’appareil HUBER 360®, le masseur-kinésithérapeute peut réaliser un bilan en 15 minutes grâce à plusieurs tests d’affilés, qu’ils soient fonctionnels ou cognitifs, comme le test de stabilité, le test unipodal, le test de marche, le test de limite de stabilité, le test de restriction de mobilité, le test de force, le test de Fukuda ou encore le test de coordination. L’appareil récolte immédiatement des informations précises, des données chiffrées et mesurables, qui permettent un suivi extrêmement complet et précis du patient.
Ces différents tests apportent des repères, des réponses au masseur-kinésithérapeute et viennent compléter son diagnostic, son expérience et ses connaissances. En plus du travail manuel réalisé sur le patient par le masseur-kinésithérapeute, la technologie HUBER 360° va permettre d’accentuer le travail sur le maintien musculaire et cognitif, le travail proprioceptif, la posture, l’amélioration de l’équilibre et l’élimination des douleurs.
La stratégie de rééducation des pathologies courantes mise en place par le masseur-kinésithérapeute sera sensiblement similaire sur la forme, mais complètement personnalisée sur le fond, grâce notamment à la technologie HUBER 360°.
En effet, le rôle du masseur-kinésithérapeute est de redonner de la mobilité.
Une fois que le travail ostéo-articulaire est réalisé, le masseur-kinésithérapeute peut passer à l’étape d’après : la motricité musculaire. « Il va faire fonctionner les muscles pour réapprendre à lever la jambe par exemple, nécessitant un effort parfois très intense pour le patient âgé » explique Laurent Dupont, Responsable France Développement Marchés SSR et EHPAD chez LPG®. « Une fois qu’on remet un peu d’huile là où ça ne bouge plus et qu’on travaille la motricité musculaire, le cerveau va capter toutes ces nouvelles informations neurosensorielles ligamentaires, tendineuses, musculaires… et va ainsi envoyer une commande neurologique pour que le muscle fonctionne bien et que le mouvement soit bien réalisé. »
Après une chute, un AVC, une opération des genoux ou du rachis, dans le cadre d’un accompagnement Parkinson… bref, quel que soit l’acte ou la pathologie, le masseur-kinésithérapeute aidé de l’appareil HUBER 360° va travailler la mobilité, la motricité et le cognitif. Parce que le mouvement, c’est la vie !
Avec l’âge, les muscles perdent de leur efficience (sarcopénie), « surtout chez une personne qui ne sollicite pas ses muscles, contrairement à une personne qui reste active et fait du sport », précise Laurent Dupont. Il est donc primordial que le masseur-kinésithérapeute alerte ses patients, et notamment du grand âge, des risques d’une vie trop sédentaire et de l’inactivité physique. C’est la raison pour laquelle il peut utiliser les outils d’HUBER 360° dans le cadre de la prévention.
En effet, il s’adapte à chaque type de patient en fonction de ses capacités. « Au-delà de 75 ans, c’est compliqué de demander aux patients de faire un footing, alors en fonction de ce qu’il enregistre, l’appareil propose des exercices adaptés », explique Laurent Dupont. Et même s’il a pratiqué du sport de façon régulière toute sa vie, le patient aura quand même des muscles moins puissants et une articulation plus fragile.
Le masseur-kinésithérapeute peut donc, grâce à des exercices ciblés avec HUBER 360°, stimuler les systèmes neurosensoriel, musculaire et ostéo-articulaires afin de prévenir les risques de chute. « C’est vraiment un des problèmes majeurs chez nos aînés, la chute va entraîner une immobilisation du patient, il va perdre en autonomie, entrer en dépendance, son état physique et psychologique se dégrade, c’est ce qu’on appelle la décompensation et c’est exactement cela que le masseur-kinésithérapeute doit prévenir » rappelle Christian Gagnière
Que ce soit durant la phase du bilan, pour la rééducation ou comme outil de prévention, le rôle du HUBER 360° et bien sûr les différentes techniques du masseur-kinésithérapeute, sont des éléments indispensables à l’accompagnement vers un mieux-vieillir de nos aînés.
Pour toute question sur les actes hors nomenclature n’hésitez pas à interroger l’ordre.
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